Yggdrasil, l'arbre monde.
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| | | André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] |  |
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+5Ewan Xavier Kannan Yhae Akio Seiei Venge André David Paterne Tordu 9 participants | | Auteur | Message |
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André David Paterne Tordu
Messages : 25
Date d'inscription : 24/05/2010
Age : 29
Localisation : Je me déplace dans la vie alors impossible de donner ici une localisation exacte.
Et vous êtes..?
Profession : Menteur à plein temps... Ou tortionnaire si vous me connaissez un peu plus.
Affinités:
Son expression préférée : Ce n'est pas un mensonge, mais un conte de fée que je vous raconte.
![André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] ![André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/14/81/92/i_icon_minitime.gif) Lun 24 Mai - 21:27 | |
| Le Personnage • Identité - Nom: Tordu… Ce nom me convient si bien ! A l’image de mon esprit. Même si les gens se moquent de moi, je m’en fiche. Ils ne comprennent pas. Mon nom représente quelque chose au moins. Il a une forte signification pour moi. D’abord il est celui de mon père. Ce père que j’aime tant et ensuite il me correspond. Je suis tordu.
- Prénom: André David Paterne. Je refuse que l’on ne m’appelle que par l’un des trois. Il y a pleins d’André et de David dans ce monde. Certes, un peu moins de Paterne, mais il y en a tout de même. Alors que des André David Paterne il n’y en a qu’un seul. C’est moi.
- Sexe: Dans ma jeunesse, j'avais deux options de mensonges. Celui que j'ai choisit et celui de grandir, me faire des implants mammaires et passer pour une demoiselle. Or, tout ceci est déjà fait par des êtres que l'on appelle travestis. Il me fallait donc trouver quelque choses de plus original. J'ai donc gardé mon identité d'homme, même si les petits garçons sont souvent confondus avec les filles.
- Orientation sexuelle: Je n’aime pas un sexe défini, non, je tombe amoureux d’une âme. Homme, femme ou animale, peut m’importe. Je ne juge pas les êtres à leurs apparences, mais à leurs esprit. Une femme peut avoir tous les atouts physique du monde, si sa tête est aussi vide que le vase qui orne mon salon, je n’en voudrais point. Un homme aura beau être considéré comme le plus beau, s’il s’agit juste d’un macho, je n’en voudrais pas non plus. Un animal pourra être le plus câlin du monde, s’il n’a pas cette étincelle que j’aime tant, il restera sur le bord de la route…
- Âge: Né le vendredi 13 janvier 1989, j’ai actuellement 21ans… Oui, je suis plus vieux qu’il ne paraît, mais je n’y peux rien. C’est un cadeau magique et je n’en veux en aucun cas à l’homme qui me donna cette jeunesse apparente. Je profite pleinement de la clémence qu’ont les hommes envers les enfants. C’est bien pratique lorsque l’on fait une grosse bêtise. Les gens disent «Il est trop jeune, il n’est pas conscient de ses actes. »… Merveilleux. De plus, il s’agit de mon magnifique mensonge.
- Monde/pays d'origine: Cette bonne vieille Terre… Contrairement à nous, humains, tu tourne rond. L’esprit humains ne forme pas une boucle parfaite comme la tienne, les humains se sentent obligés de passer par des angles et leurs esprits, déformées, forment une figure étrange… Discontinue...
- Race: Je suis un humain. Une race qui aurait pu bien tourner, mais qui a abusé du savoir que leurs ont donné les dieux. Pauvre petite Terre qui tourne rond, ces êtres te font prendre un angle bien étrange… Pardon ? Ah, oui excusez-moi d’avoir omis cette précision : je suis un guérisseur.
- Profession: Je ne travaille pas officiellement. Je préfère falsifier l'héritage de mes victimes après leurs morts ou je leur demande de le changer avant des les achever. Comme je les séquestre dans ma cave jusqu'au bout, il est presque obligé qu'à un moment elles craquent. Enfin, si je devrais trouver un mot, ce serait quelque chose comme "tortionnaire".
- Âme: Black, quoi d’autre ? Je suis un humain. Un des plus tordus d’ailleurs. Je le sais, j’assume. Je ne suis pas comme d’autres psychopathe qui croient faire le bien, non. Je suis conscient de ma perversion.
• Informations- Description physique:
Père… Quel malheur de ne pas vous ressembler. Mère m’a légué presque tous ces traits. De toi, je n’ai que ton esprit. Je m’en contente. Je possède les fins cheveux blonds maternels. Ils sont extrêmement bien coiffés, comme j’aime… Sauf au niveau de mon cou. Ici, ils rebiquent un peu. C’est bien dommage, mais je ne peux rien en faire d’autre. Si je les coupe pour les faire disparaître, je devient affreux, mais si je les laisse pousser, je ressemble vraiment trop à une gentille et jolie petite fille. Ce ne serait qu’un mensonge de plus pour les autres, mais bon.. Jouer une fille, non. Je ne le sens pas. Je possède un visage d’enfant innocent ornementé de deux yeux vairons. Le droit est vert tandis que celui de gauche est rouge. On ne voit pas cela tous les jours et les enfants croisés dans la rue me regardent avec un drôle d’air, mais c’est pas grave. J’aime mes yeux. Ils sont juste un peu trop clairs pour me plaire complètement. Mon corps est également celui d’un enfant d’environ huit ans… Dix maximum. Cela ne me gène pas, non. Je profite de tous les avantages des mineurs lorsqu’ils font des bêtises : « il est trop petit. Il n’est pas conscient de ses actes. », vous aussi, on vous a déjà servit cette phrase lorsqu’un cousin plus jeune vous ennuyait, n’est-ce pas ? Comme c’est agaçant d’entendre ceci et qu’ensuite, avec un air chafouin, ce sale gosse vous fixe. Souvent, un sourire triomphant est affiché sur son visage. Et vous, vous n’avez rien le droit de dire. Quoi de plus beau ? Du point de vue des vêtements, je ne porte que du blanc. Parfois étoffes roses et bleues se promènent sur mes habits, mais je n’y prête pas attention. En fait, je n’ai qu’un seul ensemble… Mais en plusieurs fois. Combien ? Oh, mais je ne saurais les compter. Il y en a trop. Trois armoire peut-être. Chaque parure est agrémenté d’une ou deux pierres précieuses. Je possède aussi quelques haut de forme blancs que je porte lorsqu’il me plait. Cela me donne un petit air classe… J’apprécie. Je porte constamment une chaîne assez conséquente autour de mon cou. Elle se rouille un peu au fil du temps, mais elle tiendra le temps d’une vie comme la mienne, je pense. Elle, il n’y en a pas plusieurs. Elle est unique, splendide et me suit depuis plusieurs années désormais. Pourquoi est-ce que je la porte ? Pour expier mes pêchés. La souffrance qu’elle m’inflige à longueur de journée –bien que je me sois habitué- fait disparaître mes quelques mauvais actes. Ils ne sont pas si nombreux que cela, mais tout de même. Dieu m’en voudrais de ne rien faire contre.
- Description psychologique:
Vraiment ? Je suis obligé ? Bon et bien, je vais avoir du mal, mais je m'y met quand même. Comment me décrire ? Lorsque l'on me demande, je répond juste "Je suis tordu". Comme je suppose que ce ne sera pas suffisant ici, je vais chercher à étoffer un peu. Que dire ? Que dire ? Ce que j'apprécie, peut-être. Mais si je commence cette rubrique, je pourrais citer tout et rien. Les plats que je préfèrent rentrent dans cette catégorie. Enfin, je pense qu'il vaut mieux que je vous parle de ce que je n'aime pas. Cela ira bien plus vite. J'ai la hantise des tomates et de tout ce qui est trop sucré. Ce que l'on réserve habituellement aux enfants non plus je ne supporte pas. C'est toujours une overdose de sucre qui se déverse dans ma bouche et me donne envie de régurgiter l'équivalent de mes trois derniers repas -bien que le troisième soit certainement déjà digéré-, c'est pénible lorsque je suis invité chez quelqu'un et qu'il me propose "une douceur". Je risque à chaque fois de lui refaire sa moquette. C'est une honte, certes, mais je n'y peut rien. Lorsque quelque chose est tordu, c'est qu'il est plein de défauts non ? Que dire désormais ? C'est pénible de parler de moi, je préfère analyser les choses qui m'entourent pour qu'elles m'apportent ensuite quelque chose. Tiens, et si je vous contais ma religion ? Le protestantisme est quelque chose de très agréable. Il suffit d'avoir la foi pour atteindre le paradis. Cela m'y assure ma place. Je peux donner la mort à qui je veux, il me suffit de croire dur comme fer en mon Dieu pour que je rejoigne le ciel au moment de ma mort. Enfin, il y a bien ma chaîne, mais c'est pour le "on ne sait jamais". Je n'ai jamais rencontré le tout puissant en personne alors, il vaut mieux prévenir que guérir. L'enfer, cela ne se guérit pas d'ailleurs. Si l'on ouvrait ma boîte cranniène, au lieux des arrondis que l'on voit sur le cerveau, on verrait de magnifiques angles bien aigus pour qu'il y en ait plus. Encore plus tordu que n'est déjà tordu un esprit humain. Les gens me trouvent souvent bizarre car je n'ai pas le même mode de pensées qu'eux. De toute manière, ce ne sont que des niais ! Je ne les supporte pas. Quoi qu'ils ne sont pas embêtés avec certains de mes problèmes qui sont quelque peu encombrant. Dans ce sens je les envies et je les admires également. Parfois je me demande comment cela serait si j'avais un esprit comme la plupart des gens et que j'avais grandis comme eux. Peut-être serais-je un simplet moi aussi. Est-ce que j'aurais préféré cette vie ?... Non. Je ne pense pas. Je suis trop pervers. Voir la souffrance des autres me plait trop. Le mieux, c'est quand ils croient qu'ils ont enfin la chance de mourir après moult souffrances, mais que je les soigne. C'est en cela que j'apprécie mes pouvoirs de guérisseur. M'en servir pour le bien ? Vous plaisantez j'espère ! Je ne suivrais jamais que le chemin des ombres. Il est bien plus intéressant que celui de la lumière. Mais je ne me désintéresse pas totalement de la voie du soleil. Là-bas aussi on rencontre parfois des gens un peu tordus et c'est une bonne occasion d'étudier. Je possède un carnet où je consigne les noms de tous les gens un peu comme moi que j'ai rencontré. En lisant ce que j'ai marqué, je me souviens de leurs caractères. Ou du moins de ce qui m'a frappé chez eux. Généralement ce n'est pas le fait qu'ils soient serviable vous savez... Assez parlé de moi, je pense. Je ne peux pas me décrire vraiment dans ce genre de paragraphe. J'ai dit tous ce que je pouvais dire. Tous ce à quoi j'ai pensé. Je m'excuse d'avance si j'ai oublié quelque chose.
- Biographie:
Au post suivant.
- Pouvoirs et Armes: Mon arme est un bâton de guérisseur, mais je lui ais donné une drôle de forme pour rendre encore plus crédible mon magnifique mensonge qu'est mon apparence. Il a maintenant la forme d'une sucette géante assez épaise. Bien sûr, elle n'est pas comestible... A part si vous souhaitez vous retrouver avec le petit poignard qui se trouve à l'intérieur en travers de la gorge.
- Aime: J'aime tout et rien. Cela dépend des circonstances. Si je suis de bonne humeur, si je ne le suis pas... Je peux apprécier ce qui n'est pas moi. C'est à dire ce qui est régulier, sans angles trop obtus tout comme je peux adorer les gens simples qui sont dépourvus de mon esprit trop tordu. C'est compliqué, je sais.
- N'aime pas: C'est un peu le même cas pour ce que j'apprécie. Je déteste une chose et l'instant d'après je l'adore car mes réfléxion avancent et mon opinion aussi. Le seul problème, c'est que j'ai du mal à la fixer. J'aimerais réussir, mais je ne peux pas car à chaque instant de nouveaux éléments entrent en jeu et je dois modifier mes idées.
- Ses relations: Maman, ma soeur et mon frère sont morts par balle puis tués dans un incendie. Mes grands parents je crois qu'ils sont tous morts aussi. Inutile de m'adresser des condoléances, cela ne me rend pas plus triste que cela. A vrai dire je m'en fiche. Ils partagaient ma vie, mais ne comptaient pas pour moi. Je n'ai même aucune reconnaissance pour la femme qui m'a mis au monde. En ce qui concerne mon père, il est actuellement en prison. J'aimerais aller le voir, mais je n'irais pas tout de suite. Je vais attendre que mon mensonge atteigne son apogée et il sera fièr de moi.
- Autre: Après avoir passé un examen médical obligatoire au temps où j'allais encore à l'école, j'ai appris que j'avais 10 à l'oeil rouge et 9,99 à l'oeil vert. Je ne vois pas où est l'importance dans la différence, mais bon. Je réfléchirais sur le sujet un autre jour.
Le Joueur • Vous et le RPG- Pseudo ou prénom: Monique ! Appelez-moi Monique. xD
- Âge: 1mètre 52 ! *PAN* 15ans u_u
- Comment avez vous connu le forum: Armin je t'aime.
- Comment le trouvez vous: Un peu gluant, mais appétissant. =D
- Commentaire: Ce smiley :
 me fait étrangement penser à quelqu'un... xD
- Code: [Code valide]
Dernière édition par André David Paterne Tordu le Dim 30 Mai - 18:58, édité 10 fois | |
|  | | André David Paterne Tordu
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Localisation : Je me déplace dans la vie alors impossible de donner ici une localisation exacte.
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Son expression préférée : Ce n'est pas un mensonge, mais un conte de fée que je vous raconte.
| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Lun 24 Mai - 21:29 | |
| Biographie 1992 ~ Lorette (Loire, France)J’ai trois ans. Je sors de l’école. Je déteste aller là-bas. Tous les enfants se moquent de moi à cause de mon nom de famille. Tordu… Qu’y a-t-il de honteux à s’appeler ainsi ? D’accord, quelque chose de tordu c’est quelque chose de pas beau et qui ne fonctionne pas bien, mais après ? Il y existe des nom de famille de qui on peut plus facilement se moquer. Un enfant de ma classe s’appelle Casserole et il ne sait pas chanter… Pourquoi personne ne voit la blague ? Elle est drôle pour des enfants. Enfin, il faut croire que se moquer de ma famille est une coutume à la maternelle. Mon frère et ma sœur passés avant moi ont subit la même chose. Ils ont enduré, mais je ne vais pas me plaindre.
Je décide de ne pas rentrer directement dans la maison qui est en face de l’école. Je vais dans le jardin et m’assied sur la balançoire. Il a plut une demi-heure plus tôt et je me mouille les fesses sur l’assise. C’est pas grave. Quand je rentrerais, je n’aurais qu’à me mettre en pyjama. Maman n’aura pas le temps de me voir et je ne me ferais pas gronder. Quand j’y pense, c’est un peu rigolo d’avoir ma mère de cette manière. Elle ne se doute jamais de rien quand je fais des bêtises. Il faut croire que je sais bien camoufler les choses et lui mentir. Cela me rend heureux de savoir faire cela. Ce n’est pas bien pourtant, mais je suis content.
A cause du subite changement de temps, un arc-en-ciel se forme dans le ciel bleu. Il passe pile au milieu des nuages. C’est très joli. Je pense à ce phénomène naturel créé de deux choses qui ne devrait vraiment se rencontrer. Le beau et le mauvais temps. Dans un sens, c’est assez tordu un arc-en-ciel. Comme mon nom de famille. Pourtant, tout le monde aime ces jolies couleurs qui s’affichent dans le ciel. Alors pourquoi est-ce que l’on se moque de moi ?
Ah, il se remet à pleuvoir. Il faut vite que je rentre ! Non… Je vais me laisser tremper un peu. Cela expliquera mieux ma tache aux fesses.
- Mon chéri ! Mais où étais-tu passé ? Regarde-toi, tu es trempé ! Je savais que je devais venir te chercher à l’école ! Tu es plus grand dans ta tête que les autres, mais tout de même ! Je suis une mère indigne !
- Mais non maman… Moi je t’aime comme tu es.
Je lui expliquais alors ma théorie sur les arc-en-ciel et, comme à chaque fois que je pensais à des choses trop « pas de mon âge », elle me sourit et me dit d’oublier. Que je ne dois pas faire attention aux autres enfants et qu’ils ne comprendront jamais. 1993 ~ Pradines (Loire, France)J’ai quatre ans. Je joue avec les petits soldats de plomb de mon papy. Je suis chez mes grands-parents maternels avec papa. Mamy n’est pas là, elle est partie en courses. Devant eux, je dois passe pour un petit garçon ayant la mentalité de mon âge réel. Papa, lui, il sait. Il sait que je suis plus grand que les autres dans ma tête, mais il ne dit rien. Il dit qu’il ne veut pas que je devienne l’attraction familiale. Je ne comprend pas encore tout, mais je sais qu’il agit pour mon bien. Mon père n’a toujours agit que pour mon bien. Je l’adore. Je veux devenir comme lui plus tard, c’est pour cela que je deviendrais un grand médecin ; comme lui. Il est également la seule personne qui m’appelle par mon prénom entier. André David Paterne… Pour les autres c’est trop long, ils m’appellent tous André. Je n’aime pas cela. Je n’aime pas cela du tout même, mais je ne dit rien. A quoi bon ? Que vaut ma parole contre la leur ? Ils sont des adultes, ils peuvent faire ce qu’ils veulent de moi. Ils ont une autorité naturelle impressionnante sur n’importe quel enfant… Comme j’aimerais m’en libérer. Comme j’aimerais être appelé par mon prénom entier !
C’est l’armistice. Les allemand ont encore perdu aujourd’hui. Les ferais-je gagner un jour ? Non, sûrement pas. Ce n’est pas le bon déroulement de l’histoire et grand-père me ferait un sermon. Les ennemis doivent perdre, pour le bien de l’alsace et la lorraine, parce que, on a beau dire, les gouvernant n’en ont jamais rien au à faire, des juifs.
- Albert, je voudrais récupérer l’argent que je vous avais demandé de placer en Suisse pour moi. J’en aurais besoin pour me payer une nouvelle voiture. Ma vieille dodoche n’est plus d’attaque pour les côtes trop raides.
- J’irais le chercher pour vous dès mon prochain voyage dans ce pays, beau-papa ! Pas de problème !
- Je vous fais confiance ! Aller, sortons un coup, je vais vous montrer de la belle mécanique dehors !
Un signe de tête suffit. Je ne veux pas sortir pour ce genre de choses. La mécanique ne m’intéresse pas du tout. Ou plutôt, je n’ai pas l’occasion de m’y intéresser. Lorsque je pose des question on me dit que « ça fait faire vroum-vroum aux voitures »… Bah, après tout, c’est normal. Je n’ai que quatre ans.
Comme je m’ennuie seul dans cette pièce ! Je n’ai pas le droit de sortir, enfin, si, mais s’ils rentrent alors que je ne suis pas dans la pièce, cela va être la polémique et les adultes passeront une bonne demi heure à chercher quelle bêtise j’ai put commettre. Les enfants font toujours des bêtises, c’est bien connu. Je prend une chaise et l’utilise pour atteindre le milieu de la bibliothèque. Que c’est handicapant d’être petit ! Je prend le livre d’image. Le seul qui soit adapté à mon âge aux yeux des gens, même si, malgré moi, je lorgne vingt-mille lieux sous les mers. Je m’installe sur la table et entame mon abrutissement cérébral. Les petits lapins, les chiots, les chatons, les gniangnians et les gouzi-gouzis des maman animaux… Sans oublier le bouton qui fait du bruit au coin de page ! Quelle horreur ! Décidément, je ne supporte pas cela.
Alors que je m’apprête à refermer cette ignominie, papa entre dans la pièce. Affolé et se rue sur le téléphone. Que s’est-il passé ?
- Allo ? Une ambulance ! Vite ! Vite !
- Il est arrivé quelque chose à papy ?… Papa ! Répond-moi !
- Vite !!
Les urgences arrivent et ils emmènent mon grand-père loin dans leur hôpital. Mon père, resté vers moi, m’explique qu’il a glissé dans les escalier et qu’il est tombé. Je suis allé voir les marches… Il y a du sang sur presque chacune d’elle. Je suis certain que les médecins ne pourront rien faire pour lui, mais je ne dis rien. J’espère. Comme tout le monde car l’espoir fait vivre. J’espère pour maman que son papa ne meure pas, j’espère pour mamie pour qu’elle ne soit pas triste, j’espère pour mon frère et ma sœur qui l’aime… J’espère pour eux, mais pas pour moi. L’idée qu’il puisse mourir ne me fait rien… Suis-je bien normal ?
Papa me serre contre lui, il a vraiment l’air très inquiet. A cet instant, je ne me rend pas compte du fait que, si papy avait vraiment glissé en descendant les escaliers juste derrière la porte, mon père aurait du appeler l’ambulance plus tôt… Bien plus tôt.
Le soir est là. Grand-père est mort. 1995 ~ Lorette (Loire, France)Six ans… Que le temps est long. Je ne grandit vraiment pas vite. Si je reste aussi petit, je ne pourrais jamais toucher ce qui m’intéresse vraiment. Pourquoi interdit-on tant de choses aux enfants sous prétexte qu’ils sont « trop petits » ? Si leur mental suit, ou est le problème ? Moi, je voudrais pouvoir parler de tant de choses avec mon père et ma mère. L’esclavage des enfants, l’élevage intensif, les stéréotypes, l’art… J’aimerais bien en savoir plus sur la politique aussi, mais, même pour moi, les termes sont trop compliqués.
C’est l’heure de se coucher. Je met mon pyjama à contrecœur : ce dernier est orné de petits motif à vomir comme des nounours où des petites voitures. Je soupire. Pourquoi maman ne comprend-t-elle pas ? Décidément, seul papa ne me traite pas pour ce que j’ai l’air dans cette maison. Je me brosse les dents et vais au lit. Avant de me coucher, je regarde les étoiles, comme tous les soirs. Dieu se trouve quelque part la haut. Je le sais. Je me met à genoux sur mon lit, joint mes mains et prie en direction de la fenêtre. Non, je ne suis pas chrétien catholique, mais chrétien protestant. Cette manière de croire est plus juste. Seule la vraie foie conduit au salut, Dieu se fiche des biens matériels et cela, seul les orthodoxes l’ont compris. C’est mon père qui m’a fait découvrir cela et je lui en serait éternellement reconnaissant.
Je vais pour me coucher quand je me met à suffoquer. Que se passe-t-il ? Une fumée noirâtre se promène au plafond, il fait de plus en plus chaud. J’ouvre la porte, ayant l’intention de demander des explications à ma mère, mais, je me trouve repoussé. Je me prend la porte dans la figure. Quelqu’un l’a ouverte avant moi. Je ne distingue pas de qui il s’agit ; mon regard est obnubilé par les flammes en arrière-plan. La maison brûle.
- Je savais que j’aurais du commencer par toi. Il ne me reste qu’une balle… Si je n’ai pas assez de volonté et que je te rate, c’est foutu ! Je sais que tu es assez intelligent pour t’en sortir.
- Papa !
Je ne comprend pas ce qu’il raconte, j’ai bien le temps de comprendre après. Pour le moment, j’analyse. Il y a le feu, le côté de la maison où se trouve ma fenêtre est indemne, en dessous il y a de l’herbe, la hauteur fenêtre sol ne s’estime pas à plus de trois mètres cinquante. Ais-je des chances de survie si je saute ? Oui, je pense. Le seul handicap, c’est mon fragile corps d’enfant. Je tourne maintenant mon regard vers mon paternel. Il pointe un revolver sur moi. Je repense à ses paroles… Cela voudrais dire que toute la famille y est passé avant moi ? Mes yeux s’écarquillent, je suis mort de trouille et incroyablement choqué. Des larmes me viennent aux yeux. Non, je ne suis pas triste pour les membres de ma famille, mais pour moi. Je vais mourir. Maman, ma sœur, mon frère, j’en ai rien à foutre ! Il n’y a que moi, moi et moi seul. Je suis le seul survivant et je compte bien vivre jusqu’au bout !
[color:6e07=darkorange- Aller… Pas de témoins ! Pas de traces ! Je t’offre de mourir rapidement d’une balle dans le crane, estime-toi heureux. Moi, je vais devoir brûler lentement. C’est dur pour moi tu sais. Tu me ressemble, tu as toujours été mon fils préféré, André David Paterne.
Il tire… Très mal. Ce massacre familial doit être la première occasion de sa vie pour qu’il empoigne un revolver. Je me prend la balle dans l’épaule, c’est très douloureux. Trop pour moi. J’hurle. Papa pense sûrement m’avoir achevé, il s’engouffre dans les flammes. Quelques poutres en bois tombent derrière lui. C’est certainement la dernière fois que je le vois… Cette fois-ci, j’ai un pincement au cœur, mais se n’est pas le moment de pleurer. Il faut que je sauve ma peau. Je dois surmonter la douleur qui m’envahit l’épaule.
Je me traîne jusqu’à la fenêtre et saute… Enfin, je tombe plutôt. Une poutre qui soutenait le dessous de ma chambre viens de céder. Je roule dans l’herbe, juste assez loin des flammes pour ne pas brûler. Je relève la tête et voit les voisins, tous attroupés devant chez moi dans l’attente des pompiers. Un instant, je pense à les rejoindre pour sauver ma peau, mais j’arrête directement ma pensée. Si je ne suis plus avec eux, tous ces gens qui me connaissent, je pourrais enfin faire ce que je veux. Je n’aurais qu’à prétendre une malformation ou une maladie pour expliquer mon apparence. Oui ! C’est ça ! 1995 ~ Lorette (Loire, France)L’épaule en sang, je me traîne dans une ruelle sombre avant de m’asseoir à l’abri d’une poubelle. J’ai mal et le sang coule. Si je ne vois pas rapidement un médecin, cela va s’infecter et je risque la mort. Mais quelle idée j’ai eue ? J’aurais put aller vers les voisins et m’enfuir ensuite, mais que suis-je bête ! J’ai beau être en avance sur mon âge, je me retrouve coincé au stade de l’enfant qui fait des folies pour prouver à ses parents qu’il peut se débrouiller sans eux. Je me trouve pitoyable… En plus, je n’ai plus personne vers qui faire mes preuves. Maman a été assassinée par papa qui est sûrement mort dans les flammes de la maison. Stupide ! Il n’y a que ce mot la pour me qualifier. Je n’ai rien vu venir, jamais.
Me sentant m’affaiblir, j’use de mes dernières forces pour réfléchir. Je ne peux plus faire que ça. Tant qu’il me reste assez de sang pour irriguer mon cerveau, je vais penser à père. Répondre à la question du « Pourquoi ? » avec un grand P. Il devait bien y avoir une raison à tous ces assassinats. Sa situation… Non. Un mariage visiblement heureux, un bon métier, des amis, pas d’enfants rebelles – quoi que ma sœur ne soit pas facile à vivre tous les jours –. Il aurait « péter un plomb », comme on dit ? D’un coup, une pulsion meurtrière ? Je ne pense pas. Il devait y avoir autre chose. J’ai toujours eu l’impression que papa nous cachait quelque chose. Un secret inavouable. Une maîtresse peut-être. Enfin, personnellement, je n’ai jamais remarqué un quelconque mal-être chez cette personne. Pour connaître le fin mot de l’histoire, il faudrait que je puisse lui poser la question directement, mais cela est impossible. Il est mort. Personne ne saura jamais la cause de cette folie. C’est sûrement mieux, non ?
Aïe. Je crois… Je crois que j’ai une baguette dans le nez. Non, pas du pain, mais ce truc qu’on voit dans les dessins-animés. Vous savez avec les magiciens, les stupides créations pour enfants où l’on transforme les gens en crapauds. Elle brille d’une drôle de lueur verdâtre qui a pour seul don de m’agresser les yeux. Je ne supporte pas toutes ces choses futiles car je suppose que ce gadget n’est qu’un jouet pour enfant. Enfin, il doit bien y avoir quelqu’un qui tiens cette objet, non ? Je lève donc la tête et me trouve nez à nez avec un vieil homme fatigué par la vie. La seule question que me vient à l’esprit est « Il est encore en vie à son âge ? ». Oui, c’est vrai, c’est bête, mais je n’ai encore jamais vu une personne aussi vieille. Il est normal que je me pose la question, non ? Je n’ai que six ans.
- Tu es blessé mon enfant ?
- Oui…
Comme si cela ne se voyait pas ! Et moi, comme un imbécile, je pend la peine de répondre. Cette respiration prise pour formuler un mot inutile n’est qu’une sotte perte de temps. Que cet ruine se mêle de ses affaires. Je vais mourir, et alors ? Qu’est-ce que cela peut bien lui faire ? Il ne me connaît même pas, mon papy, il n’a pas cette tête là ! Je me surprend dans mes propres pensées : n’ais-je pas plus que tout envie de vivre ? Je me suis fiché, et me fiche encore, du meurtre de mes proches, mais tremble de peur quand il s’agit du mien… Et si cet inconnu se propose pour me soigner, pourquoi est-ce que je le repousserais ? Après tout, s’il peut me servir, autant en profiter.
- Monsieur, soigne-moi s’il te plais ! J’ai très très mal à mon épaule !
Quel affreux petit garçon je fais ! Imiter un gosse que je ne suis pas pour m’attirer la compassion d’un vieux à qui je dois vaguement rappeler les petits enfants disparus. Mais qu’importe ! Qu’importe ! Qu’il souffre de l’ingratitude de ses enfants, je m’en fiche ! Tout ce que je veux, c’est vivre. Si en plus je pouvais être nourri et logé par lui, ce serait parfait ! C’est mal ce que je fais, oui, très mal, mais j’assume. Conscient du « crime » sur lequel je m’engage, je ne me détourne pas de ce chemin et présente mon épaule à l’innocent.
- Tu crois en la magie mon petit ?
Vieux schnock !
- Bien sûr monsieur… Tu es magicien ? Tu as une grande barbe comme eux.
Il me fait pitié.
- Laisse ma douce lumière verte apaiser tes souffrances. 1999 ~ Cagne-sur-Mer (Côte d’Azur, France)J’ai désormais dix ans. Voilà quatre ans que je vis avec Valviero. Oui, c’est le nom de l’inconnu qui m’a soigné le jour du drame. Enfin, « drame » c’est un bien grand mot. Je ne me sens pas plus touché que cela. La vie de ces gens ne m’importait pas plus que cela finalement. Cela m’a apporté une preuve de plus ; j’ai pu le confirmer une nouvelle fois : je suis tordu.
- Voilà ton chocolat chaud !
Ah… Dire que je n’ai pas le droit de faire la moue. Je déteste cette boisson, mais il ne me sert que cela ou de l’eau. Je dois donc me forcer à boire, comme je dois me forcer à pleins d’autres choses. Faire semblant d’être un enfant comme un autre, d’ignorer pleins de choses, d’apprécier la présence de cet homme, mais le pire ce doit être de feindre de l’intéressement pour la magie. Il m’enseigne la matière depuis qu’il m’a recueillit sans que je ne lui demande rien. Guérir les gens par l’occulte… Mais quelle belle, excusez-moi cette expression que je n’aime pas utiliser, connerie ! Pourquoi ça tombe sur moi ? Je ne pouvais pas deviner qu’il allait vouloir jouer le professeur, sinon je ne serais jamais venu et, je vous assure, une fois que l’on est coincé chez lui… On en ressort pas facilement. En plus, il m’offre tout ce que je désire alors c’est dur de se détacher du portefeuille.
Je bois mon chocolat en retenant une grimace de dégoût. J’ai des pensées bien malsaines pour un enfants. J’avais déjà remarqué cela avant, mais cela ne s’arrange pas en grandissant. Plus j’approche de mon âge de libération, plus je devient vil. Cela ne m’inquiète pas, non, et la grimace c’est uniquement pour la boisson.
- Je t’ai acheté le livre que tu voulais. Celui avec l’homme qui porte ton nom de famille. L’auteur a vraiment de dôles d’idées pour nommer ses personnages.
- Hmm…
Boire, quel bon prétexte pour ne pas répondre. Ce livre, ce n’est pas un simple amas de feuilles imprimées sans intérêt comme certains autres, non, c’est l’histoire de mon père. Il n’est pas mort, je l’ai appris il y a peu. Il est en prison actuellement et cet ouvrage relate sa vie. Il explique ce « Pourquoi » que j’ai tant cherché. Je termine mon petit déjeuner et vais m’enfermer dans ma chambre pour lire. Enfin je vais savoir. L’impatience me brûle les yeux. J’ai envie de sauter des pages, lire en diagonale, mais une force qui m’est inconnue m’incite à lire attentivement chaque mots pour bien les comprendre tous. Un par un, paragraphe par paragraphe, page par page ; je redécouvre un homme que je pensais connaître. Mon père. Un menteur. Un brillant menteur. A la fin de ma lecture, je jette l’œuvre au fond du lit et prend ma tête dans mes mains. Je tente de me faire un petit résumé des faits, pour faire le point :
Monsieur Tordu, pour une raison inconnue, ne s’est jamais présenté à l’examen pour obtenir son diplôme de médecin. Il a menti à tous ses proches en faisant croire qu’il avait son diplôme et fit croire, tous les jours qu’il paraît au travail. Il s’est marié, a eu des enfants sans que la supercherie ne soit découverte. D’où venait l’argent ? Il l’empruntait à des proches en faisant croire qu’il allait le placer en Suisse pour que cela rapporte. Il passait ses journées à errer en voiture et se balader dans les bois environnants. Dix-huit ans passèrent sans que rien ne soit mis à jour. Un jour, sa femme, ma mère, appelle en à son lieux de travail car elle devait lui poser une question. On lui affirme qu’on ne le connaît pas. Il ne travaille pas à cet endroit. Elle ne dit rien, croyant à une erreur. Plus tard, elle appelle en Suisse pour savoir ce qu’il en est de ces comptes. Rien. Aucun registre au nom de Tordu. Elle est perplexe, en parle à son mari qui lui dit qu’il doit s’agir d’une erreur. Monsieur se rend compte qu’il ne pourra plus tenir le secret, il assassine donc ses parents et toute sa famille avant de tenter de se donner la mort. Il fut sauvé in extremis des flammes. Je suis déclaré mort. Toute cette histoire pour un mensonge… Un énorme mensonge qui ne cache absolument rien.
C’est donc lui qui a tué papy aussi, hein ? Père… Père… Je vous admire. Vous être un être exceptionnel. Je ne peux plus me permettre d’employer le « tu » pour vous parlez. Ce dieux, cet être suprême dont vous me contiez les histoires, n’en seriez-vous point la réincarnation ? Votre seule faille et le derrière du miroir. Un mensonge qui ne cache rien, cela retenti car c’est peu ordinaire, certes, mais je ne trouve pas cela terrible. Moi, mon mensonge il cachera quelque chose. Plusieurs choses même ! Je serais grand ! Aussi grand que vous père ! Je jure de ne pas vous décevoir… 1999 ~ Cagnes-sur-mer (Côte d’Azur, France)Cela y est, j’ai réussis à emprunter le grimoire du vieux. Il ne me manque plus qu’à trouver cette fameuse formule interdite. Avec elle je pourrait inverser les effets de mes pouvoirs de guérison afin de pouvoir tuer avec. Qui soupçonnerais un enfant ? Lui qui est si innocent, son esprit pure est incapable de prévoir un meurtre. Cela y est, j’ai trouvé la bonne page. Elle est étonnamment simple. Même un bambin de trois ans aurait put la prononcer. Bon, je commence. Il n’y a pas de temps à perdre car l’autre allait sûrement rappliquer dans peu de temps. C’est parti… Et mince.
- André ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Et avec ce grimoire ?
Sombre idiot… Appelle moi encore « André » et je te le fais manger, ton bouquin. Mon prénom c’est André David Paterne, pas seulement le premier ! Je déteste, mais je déteste vraiment que l’on me nomme ainsi. Père, vous seul aviez compris que j’étais unique. Un homme, certes, mais qui ne doit pas être comme les autres. Tiens, j’y pense, les autres grandissent. Les autres veulent grandir. Moi aussi avant c’était mon seul désir, mais il est vrai qu’avec mon nouveau but, rester un enfant pourrait être un avantage… Et un mensonge de plus.
Tiens, ce qu’elle est bien placée cette fourche, tout près de moi. Enfin, il faut dire que c’est sa place, je suis dans la remise.
- Cette page… Ne me dis pas que… Sale gosse ! Tu es et tu resteras un sale gosse !
Pouf, un flash vert. Quel imbécile cet homme. Il vient de m’offrir le plus beau des cadeaux. Je resterais éternellement ce que je haïssait il y a quelques instants. Un enfant, mais un enfant à l’esprit d’adulte. Celui d’une grande personne plus que tordue… J’aime cette perspective d’avenir, oui, j’adore même. Aller mon vieux, j’espère que tu as fait ta prière. Phrase stéréotypée, mais toujours efficace. 2010 ~ Paris (Ile de France, France)Je me promène dans ce qu’on appelle la plus belle ville du monde. J’ai vingt et un ans, mais l’apparence d’un enfant qui aurait entre dix et douze ans. J’ai plusieurs crimes sur le dos, mais jamais on ne m’a soupçonné. Trop jeune pour être impliqué dans ce genre d’affaire et trop habile pour ne pas faire accuser un autre. Content de moi, je pense aux trois personnes qui sont actuellement séquestrées dans mon sous-sol. Je ne pense même pas « les pauvres ». C’est moi qui leurs infligent toutes ces souffrances et j’aime cela. Je crois que les gens appellent cela être « sado »… Ah ! Que l’emblème de cette ville m’insupporte ! Cet énorme phallus de métal gâche tout le beau paysage. Tandis que je ferme les yeux pour ne pas voir cette horreur, une voix se met à résonner dans ma tête :
« Vous, qui faites tous partit de différents mondes,
Votre Destin, aujourd'hui, va changer en cette même seconde
Où vous avez entendu mes mots, ma voix, mon appel.
Et ainsi, à vous tous à qui je rappelle
Qu'un autre jour, sera victime l'univers
D'une terrible menace, d'une grande guerre
Celle entre le Bien et le Mal, une guerre depuis des années fortes redoutés
Dont vous serez évidemment les combattants, les guerriers.
Le sort de l'Univers ne dépends de vous,
Eliminez tous vos ennemis, battez les jusqu'au bout !
Mais bien sûr... Quel côté gagnera ?
Le Bien ou le Mal ? On verra !
Alors mon enfant, Invité, viens !
Viens te battre dans cette guerre, aux côtés des tiens !
L'Ultime combat se déroulera dans un magnifique pays,
Ce sera à Venise, en Italie ! »
Alors déjà mon gars… Je ne suis pas ton enfant et ta guerre je m’en fiche totalement. Quoi que j’aimerais bien que le mal triomphe. Ce serait également une occasion d’étudier mes semblables qui ont choisit la « voie du diable », comme on l’appelle. Après avoir obtenue un maximum d’informations sur eux, je pourrais devenir le plus tordu de tous. Atteindre enfin mon but ultime. Aller, direction Venise !
Dernière édition par André David Paterne Tordu le Dim 30 Mai - 18:59, édité 3 fois | |
| | | | Akio Seiei Venge
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Lun 24 Mai - 22:39 | |
| Bienvenue ADP (plus court) | |
| | | | Yhae
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Lun 24 Mai - 23:05 | |
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| | | | Xavier Kannan
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 14:10 | |
| Bienvenue!
Et bonne continuation pour ta fiche! =) | |
| | | | Ewan
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 15:25 | |
| Bienvenue dans le monde des fous, tordus, malades... comme tu voudras.  | |
| | | | Shamyz Arakena
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 15:30 | |
| J-J-J'adore !!!!!!!!!!!! J'adore cet être machiavélique, j'adore sa manière de penser, j'adore sa faculté de raisonnement digne d'un GÉNIE !!! Un Q.I. dépassant de loin la moyenne, ça les amis... Je suis sidéré, j'ai découvert une personne qui changera ma vie ! Dieu a écouté mes prières, il existe !!!!!  Toi et moi, sur le ring à minuit.  Et bienvenue... Mais non, bienvenue j'laisse ça aux autres ringards. Puis Ewan, dans un monde TORDU s'il te plait.  | |
| | | | Akio Seiei Venge
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 15:47 | |
| Akio : Sa y est Sham nous à péter une durite!!
Jill : S'était à prévoir remarque, après tout mon père à jamais été très sain d'esprit à la base.
Akio : Ouais mais quand même, à ce sujet et à se point?
Jill : Oh je pense que c'est pas grand chose par rapport à ce qu'il est vraiment capable de faire.
Akio : Tu crois?
Jill : J'en suis sûr! | |
| | | | Yhae
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 17:21 | |
| Je viens de prendre le temps de lire ta biographie et franchement j'adore, c'est superbe André David Paterne. | |
| | | | Armin Faust VIII
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Localisation : Where is Bryan? Bryan is in the kitchen. Armin, je sais pas.
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 19:07 | |
| Oh mein gott. . . Et après tu me reproche de faire des personnages complètement tordus, hein?
Jsuis fan... ♥ Tu m'épouses, dis? :D | |
| | | | Akio Seiei Venge
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 19:54 | |
| Tu vas épouser combien de personne avant d'être satisfait? | |
| | | | Armin Faust VIII
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 19:55 | |
| Je ne suis jamais rassasié... Et lui, il me le faut! >.< | |
| | | | Sia Alehandra
Раны спать
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mar 25 Mai - 23:13 | |
| André David Paterne... Mais quel psycopathe! J'adore *w*!
Bon, eh bien un nouveau fou parmis nous...
Bienvenue quand même! | |
| | | | André David Paterne Tordu
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Profession : Menteur à plein temps... Ou tortionnaire si vous me connaissez un peu plus.
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Son expression préférée : Ce n'est pas un mensonge, mais un conte de fée que je vous raconte.
| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mer 26 Mai - 16:15 | |
| J'ai l'impression qu'on adore les psycopathes ici. xD Shamyz : ... Je suis pas spécialisé dans le combat tu sais. u_u" Ewan : Oui, un monde de TORDU s'il vous plait. xD Armin : J'accepte sans hésitation ! =D Comme j'avais commencé ma fiche chez moi et que j'en avais rempli la majoritée, je posterais la plupart des trucs manquants ce week-end. Et après... Il faudra que je m'attaque au caractère.  | |
| | | | Armin Faust VIII
Messages : 383
Date d'inscription : 22/12/2009
Localisation : Where is Bryan? Bryan is in the kitchen. Armin, je sais pas.
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Son expression préférée : Un € pour le bonheur éternel... Hum... Je serai plus heureux en le gardant!
| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mer 26 Mai - 16:23 | |
| - André David Paterne Tordu a écrit:
Profession: Je ne travaille pas officiellement. Je préfère falsifier l'héritage de mes victimes après leurs morts ou je leur demande de le changer avant des les achever...
Copieur.  - André David Paterne Tordu a écrit:
- Commentaire: Ce smiley : me fait étrangement penser à quelqu'un... xD
Je te hais. xD Mais vu que tu as accepté de m'épouser sans que j'ai à te forcer, je t'excuse. | |
| | | | Shamyz Arakena
~Stalker As Stealer~
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Date d'inscription : 23/12/2009
Localisation : |[-No Way !-]|
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Mer 26 Mai - 16:56 | |
| Pas besoin du combat, j'ai un scénario pas mal en tête s'tu veux ! Rien quand lisant la fin de ta bio, l'idée est venu toute seule sans même claquer des doigts, puis franchement depuis quand un génie n'est pas spécialiste du combat ? Il peut quasiment prédire les coups en fonction du caractère... Non ?
Bref, si ça t'intéresse tu me mp hein ! xD | |
| | | | Odin
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| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] Ven 28 Mai - 22:34 | |
| La fiche et le code sont OK. Alors je t'ajoute à ton groupe. Bon rp. | |
| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] | |
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| | | | | | André David Paterne Tordu, en entier, s'il vous plait ! [Terminé] | |
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