Yggdrasil, l'arbre monde.
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 Je suis dans la merde et jusqu'aux coui... [Pv Tordu, jeu d'mots ! xD]

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Shamyz Arakena
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Shamyz Arakena


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MessageSujet: Je suis dans la merde et jusqu'aux coui... [Pv Tordu, jeu d'mots ! xD]   Je suis dans la merde et jusqu'aux coui... [Pv Tordu, jeu d'mots ! xD] I_icon_minitimeMar 1 Juin - 21:08

Minuit, dans un bar des bars de Venise.

"JAMAIS, plutôt crever que d'y aller !"

Toujours à gueuler, jamais à discuter calmement. Enfin, vu la situation dans laquelle il s'était foutue... Ses interlocuteurs n'avaient pas vraiment envie de parler tranquillement une tasse de thé à la main. D'ailleurs, c'était juste quelques hommes en colères qui en avaient après notre bon Shamyz. La personne qui semblait être le leader était vêtue d'un chapeau et une blouse en cuir à la genre western. Sur ses quatres acolytes, il y avait un noir taillé comme un taureau avec une coiffure à la genre punk et celui là était le plus silencieux, il devait être le muscle du groupe. Le troisième était blond, avec des lunettes de... Mouche ? Il faisait penser aux gamins premiers de la classes des vieux feuilletons avec ses cheveux plats et ses vêtements de l'avant guerre. Les deux derniers, eux ressemblaient juste à de simples racailles sans cervelle. Tous fixaient monsieur Arakena avec attention. Ce dernier était étalé sur une table alors que le noir baraqué lui faisait une clé de bras. Le ricain dans l'incapacité de bouger se retrouvait coincé dans une position toute bête dont il ne pouvait pas se défaire directement par la force. La transpiration dégoulinait sur son visage avant de venir s'écraser sur l'endroit ou il était vautré. Son expression faciale était bizarre, il faisait une atroce grimace entre la peur, le regret et d'autres choses. Pourtant, en regardant la tête qu'il tirait, on aurait plus envie de rire que de le blâmer. Sur les cinq, c'était le plus costaud et le plus lourd (au propre sens du terme) qui le tenait fermement en y mettant son poids. Pendant ce temps, les autres discutaient entre eux discrètement de sorte à ne pas être entendu par leur "prisonnier". Sur quoi les quatre autres étaient-ils en train de s'entretenir dans leur coin ? Le voleur, lui semblait savoir la réponse mais cela ne le plaisait guère. Bon sang, pourquoi fallait-il toujours qu'il attire les emmerdes et se fasse remarquer ? Si pour une fois, il s'était tenu calmement, avait payé et s'était tiré sans rien dire... Rien de tout ça ne serait arrivé et ces foutus chasseurs de primes ne l'auraient pas remarqué. Ils n'avaient pas fait dans la dentelle avec leurs manières de mercenaires ! Tout le bar avait était retourné, saccagé juste pour le maitriser et c'est comme ça que ce crétin s'était retrouvé étalé sur le comptoir d'un des bars de Venise avec pour menottes un mec à la mister T ! Rien n'avait été épargné, même pas une bouteille d'alcool. Les chaises et les tables avaient été utilisées comme des projectiles, les bouteilles aussi... Même quelques pauvres gens n'ayant pas eu le temps de sortir s'étaient fait assommés à cause de ça. Le barman qui s'était pissé dessus était à quatre pattes caché derrière son comptoir, les mains sur sa tête pour se protéger. Néanmoins dans cette bataille, aucune arme fut dégainée sauf deux ou trois pieds de tables et des bouteilles, le reste fut office de cailloux à balancer au visage de l'ennemi. Que cette bataille fut drôle, jusqu'au moment ou le ricain fut plaquer violemment en traitre sans rien voir venir. Ils étaient cinq et avaient l'avantage du nombre, c'était dégueulasse ! Cela devait faire une bonne vingtaine de minutes que le demi-humain était dans cette position désagréable. D'ailleurs, au bout de cinq longues minutes de plus la conversation s'arrêta et le "cow boy" se retourna, une seringue à la main.

"C'est décidé, tu retournes aux USA faire un coucou aux autorités mec et même un tour en tôle, si c'est pas deux !"
Le mercenaire attrapa le bras droit de Sham' pour l'étaler sur le comptoir. L'aiguille, la pointe se déposa sur la peau sans pour autant passer au travers.
"Vos dernières paroles monsieur Shamyz Arakena ?"

C'est alors que le ricain fronça les sourcils en faisant un drôle de bruit avec sa bouche, ce qui attira l'attention du grand gogole au chapeau en cuir qui n'avait rien entendu, cet idiot rapprochant son visage de celui du demi-humain. Le fouteur de merde inspira alors un grand coup, avant de cracher un bon gros molard bien visqueux dans le visage du leader. Celui-ci fut désorienté et lâcha sa seringue ainsi que le bras de Sham' qui de sa main libre récupéra l'objet cylindrique qu'avait lâché son agresseur pour le planter dans la jambe de la montagne de muscle. Il y avait assez de produit pour faire dormir un taureau et la preuve : le noir s'écroula en arrière au bout de cinq secondes, lâchant prise. Le brun se releva alors avec un grand sourire aux lèvres, en mettant sa main dans sa sacoche avant de regarder les quatre derniers hommes qui s'étaient regroupés. En un éclaire, le bandit sortit une grenade flash qu'il dégoupilla et claqua au sol en se retournant et sortant par la porte d'entrée avant de prendre ses jambes à son cou comme un homme fuyant la mort. Il l'avait échappé belle ! Une seconde de plus et qui sait ce qu'il lui serait arrivé ? Au bout de quelques centaines de mètres, il vérifia qu'on ne l'avait pas suivit en regardant derrière lui. Sur de rien, il s'engouffra dans une petite ruelle sombre avant de souffler en s'adossant au mur. Cet endroit était vide et il n'y avait personne. C'était plutôt rassurant après ce qu'il venait de se passer... Le ricain leva son regard vers le ciel étoilé avant de décider à reprendre la route. Mais il n'eut le temps que de faire un pas avant d'entendre une drôle de bruit, comme un sorte de décharge électrique. Ses membres le lâchèrent soudainement et il tomba à genoux... Merde, il se passait quoi encore ?! Il se vautra de nouveau, mais cette fois sur le trottoir. La dernière chose qu'il vu était une paire de pompes et puis... Le noir total.


_________________________________________________________________________________

Dès que le ricain se réveilla et ouvra les yeux, une grande douleur lui traversa le crâne, comme une migraine. Sa vision était floue et il ne voyait pas grand chose, c'était encore le noir complet ou presque. Pendant un instant il eu comme la tête dans du coton. Il tenta de porter sa main à son visage mais en vain, quand il bougea son poignet un bruit métallique résonna. Ce n'est qu'après qu'il sentit une douleur légère au niveau de ses poignets et même de ses chevilles. Aucun mouvement possible, la seule chose qu'il pu comprendre : il était assit. Pourtant il ne sentait pas vraiment son corps, juste une petite douleur sur ses membres encore légèrement engourdis. Encore à moitié dans "le comma", il tenta de dire "merde" mais ce fut encore un échec cuisant. Ses lèvres ne pouvaient pas s'ouvrir, elles étaient comme collées... Non, ce n'était pas ça... Il avait du chatterton sur les lèvres... Mais... Qu'est ce que... C'est à ce moment que le ricain secoua la tête, en ne comprenant pas encore ce qu'il se passait. D'un regard perdu, il loucha sur son environnement sombre. Ses yeux s'habituant au noir, il pu voir qu'il était dans une pièce pas très grande. Le fait qu'il ne pouvait pas bouger l'inquiéta fortement alors qu'il reprenait ses esprits. Le demi-humain pu constater qu'il était ligoté à une chaise, en caleçon. Craignant le pire, son coeur commença à s'emballer alors qu'il tenta désespérément d'hurler même si c'était perdu d'avance. Il ne savait pas ce qu'il s'était passé, mais cette fois... Il était dans la merde mais jusqu'aux coui...

[Désolé, mais bon. J'savais pas vraiment comment lancer le topic. Y-a des risques que je rajoute des trucs peut-être.]
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André David Paterne Tordu

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MessageSujet: Re: Je suis dans la merde et jusqu'aux coui... [Pv Tordu, jeu d'mots ! xD]   Je suis dans la merde et jusqu'aux coui... [Pv Tordu, jeu d'mots ! xD] I_icon_minitimeSam 5 Juin - 17:42

Aujourd’hui, Belissario Calveto est mort. Je ne saurais dire à quelle heure, il fait sombre dans cet endroit. Tout ce que je peux dire, c’est qu’il faisait chaud et que par conséquent nous devions être en plein après-midi. Je le sais car les changements de températures sont bien visible chez moi. Je n’ai pas encore installé la climatisation. Je ne craint pas vraiment la température alors cet objet ne me servirais à rien, mais cela pourrait m’aider à conserver mes amis plus longtemps. Je créerais un effet frigo dans ma cave… Enfin bref. Il faut que je mette ma lettre dans la boîte. J’ai déjà tout prévu pour m’emparer de l’héritage. Il n’a pas d’enfant et je suis son fils illégitime issu d’une maîtresse qui est bien évidemment décédée. Il ne faudrait pas que quelqu’un pense à vérifier le fin fond de l’histoire. Je serais le seul témoin de cette sinistre histoire et comment se fier aux paroles d’un enfant ? Ils ne pourront que jurer sur le testament où il est clairement stipulé « moi, Belissario Calveto, lègue l’argent placé sur mon compte à la banque XXX à Enrico Zilli, mon unique fils. ». Et avec son écriture en plus ! J’aime créer des faux-papiers. Il faut croire que j’ai un don.

Je me trouve actuellement dans une ruelle sombre. Il est vraiment tard. Tous les enfants sont déjà au lit, je ne risque donc pas de rencontrer des imbéciles qui me proposeront de jouer au ballon ou se moqueront de mes vêtements. Sur le chemin, je n’ai rencontré que deux trois spécimens de ce qu’on appelle racaille. Se rendent-ils compte à quel point ils sont ridicules ? Leurs dégaines et leurs attitudes sont absolument catastrophiques. C’est un des rares points sur lesquelles il est impossible que je change d’avis à force de réflexion et pourtant cela fait des années que je tente d’élucider le mystère de ces bestioles. Peut-être est-ce une des voies qui existent pour se trouver soi-même ? Toujours est-il que je ne suis pas venu me balader ici pour disserter sur le sujet. J’arrive près de l’habitation de monsieur Calveto et glisse la lettre dans la boîte. En effectuant ce geste, je me souviens de son dernier hurlement. Un cri déchirant qui aurait fendu l’âme de n’importe quel humain qui a une courbe de vie sans grand angles. Il m’a parut tellement beau, magnifique, exquis pour les tympans. Une parfaite combinaison de son timbre de voix habituel avec une pointe d’aiguë. Un véritable concerto de douleur. Rien que pour cela, je pourrais les soigner une bonne dizaine de fois. Malheureusement, ma corpulence et mes capacités physique m’empêchent de les régénérer plus de trois fois. Si le sujet est plutôt musclé, je dois m’en tenir à une et demi. Les muscles sont plus dur à réparer que le reste.

Un bruit se fit entendre. Comme si quelqu’un courait. Un témoin potentiel ? Non, il ne faut pas. Cela ferait tout rater. Qu’est-ce que j’ai sur moi ? Un tazer. Ce n’est pas grand chose, mais cela devrait faire l’affaire. J’espère juste ne pas tomber sur une de ces créatures surnaturelles qui grouillent dans le coin. C’est embêtant de s’en échapper lorsqu’elles me sautent dessus. Elles sont plus résistantes que de simples humains. Surtout, elles risquent bien de me tordre le cou. Bon, d’accord, cela ferait un élément de plus de tordu chez moi, mais si c’est pour m’apporter la mort, je n’en veux pas. Je ne pourrais pas m’auto-soigner si cela arrivait. Il serait trop tard. Je me cache donc derrière un conteneur-poubelle et j’attend. Les bruits s’arrêtent et je distingue un soupir. Je jette un œil : c’est un homme à la musculature non négligeable… Quel bel entraînement il ferait ! Celui-ci, il faut que je l’ai. Tant pis s’il n’a pas d’argent mais avec une telle masse il pourrait m’aider à faire d’immense progrès. Aller, je le garde en vie trois jours, ou deux. On va voir si j’arrive à m’en occuper ou pas. Il faut aussi prendre en compte le fait qu’il est peut-être rebelle. Enfin, lorsque j’examine ses vêtements, il est certain qu’il n’est pas un enfant de cœur. A-t-il seulement des papiers ? Après, je ne vais pas m’amuser à juger les gens à leurs apparences. C’est un acte stupide et il serait trop long de me forger une véritable opinion maintenant. Il risque de s’enfuir. Il ne m’a pas vu ? Tant mieux. Il doit avoir quelques problèmes de vue car il faut avouer que mes vêtements blancs ne sont pas ce qu’il y a de plus discret. Et si je me créait deux apparences ? Une pour le jour, et une pour la nuit ? J’y réfléchirais plus tard. Pour le moment, je m’approche et envoie une décharge à la brute. Il tomba sur les genoux puis à terre, inoffensif. Parfait. Maintenant, il faut le ramener chez moi, mais ne pensez pas que je n’ai pas réfléchit à tout. En arrivant dans cette rue, j’ai remarqué une planche à roulette de taille assez conséquente appuyée sur un mur. Je vais donc la récupérer et position comme je peux le corps dessus. Qu’il est lourd ! Et que je manque de force aussi. C’est un des inconvénients de mon mensonge. Je m’attendais à ce que cela ne soit pas simple de toute manière. Aller, je le pousse jusqu’à chez moi et ensuite il faudra que je l’emmène à la cave.

Etre passé par les petites ruelles, avoir contourné tous les endroits où pouvaient se trouver des passants et avoir mis des coups de tazer à certains m’a pris plus de temps que prévu. Il faut que je me dépêche avant qu’il ne se réveille. Aller, je le transfère sur le tapis. Le parquet à été fait glissant pour ma dernière victime et il l’est encore. Je le glisse jusqu’à l’entrée de la cave. Les coussins pour ne pas abîmer les paquets dans les escaliers sont toujours là. Hop ! Roulez-boulez ! Les vêtements maintenant. Cela va ma prendre trop de temps pour les retirer… Je découpe. Il ne sera pas content, mais je ne suis pas là pour lui faire plaisir, au contraire. C’est pour cela que je ne prends jamais des masochistes…

Le voilà monté sur la chaise avec le gros scotch sur la bouche. Je ne remercierais jamais assez l’homme qui inventa le système de poulie. Il me sert bien pour transporter les masses de cette taille. Mon tas de muscle n’est toujours pas réveillé. Pourtant, que je suis pressé de commencer. En attendant, je vais sélectionner mes outils. Avec quoi vais-je le commencer ? Quelque chose qui entre dans la catégorie « objets de tous les jours » aujourd’hui. Une batte de base-ball ? Un club de golf ? Un clou dans le nez ? Un marteau ? J’hésite. Le dernier a été commencé par le joli supplice de se faire arracher les ongles. Je vais essayer de ne pas mettre trop de sang partout. C’est énervant à nettoyer. Hum… L’autre semble être un gros ronfleur, il n’est toujours pas remis. Aurais-je affaire à une petite nature ? Je n’espère pas. En parlant de petite nature, est-ce que l’autre est toujours frais ? Je jette un œil à l’intérieur du coffre où je le conserve : quelques asticots ont déjà élus domicile dans son corps. Il va falloir penser à se débarrasser. Bon, du nouveau du côté de ma dernière acquisition ? Oui, il semble se réveiller. Cela fait plaisir.

Il ne doit pas savoir où il est le pauvre. Il semble également un peu affolé. Je me trouve dans le coin le plus sombre, il ne doit pas me voir. Oh, mais où sont passée mes bonnes manières ? Il faut que j’aille le saluer. Aller, allons lui raconter un conte de fées…

- Bonjour monsieur ! Bonjouuuur ! Maman n’est pas à la maison alors je peux faire toutes les bêtises que je veux !

La niaiserie de l’enfance apparaît sur mon visage en même temps que ces mots sortent de ma bouche. De grands yeux innocents, un sourire radieux et une position de gamin : un doigt dans la bouche et sur un seul pied. Mais attention, il ne faut surtout pas se gratter l’arrière du genoux avec notre jambe libre, sinon on passe pour un enfant introverti ; or, mes paroles disent le contraire. Je parle facilement aux inconnus et irait volontiers jusque chez quelqu’un qui me proposerait des bonbons. Un enfant à gronder, donc, mais qui paraît si adorable aux yeux des gens bien intentionnés à qui il irait parler. Père, je me rapproche de votre génie de jours en jours, mais n’ait pas encore la prétention de vous dépasser.

- Regardez, j’ai mis des coussins dans les escaliers pour pas que vous vous fassiez mal avant que je ne commence. Je m’en serait voulu de vous abîmer prématurément.

Mince, une erreur. Quel enfant userait du mot « prématurément » ? Enfin, tant pis. Ce genre de choses fait parti de l’apprentissage. Je ne peux plus me retenir, il faut que je l’entâmes. C’est comme s’il était une pâtisserie géante et que moi je sois un adorateur de sucreries. Comment résister ? Et si je me faisais languir et n’attaquais pas les muscles tout de suite ? Bonne idée. Il faut d’abord qu’il puisse parler, ou plutôt faire sortir de magnifiques cris de sa bouche. Retirer ce qui l’empêche de parler, donc.

Le club de golf. C’est mon choix. Je l’empoigne, me retourne vers ma victime et lui en met un puissant coup dans la figure tout en accrochant le scotch pour qu’il se retire. Quoi ? Si c’est possible. J’ai ma petite technique personnelle. Je le positionne de manière à ce que tout objet qui le touche y reste solidement accroché. Un peu comme si c’était du double face. De ce fait, la force des mes bras, bien qu’elle ne soit pas grande, dépasse celle de la colle et permet à mon homme de parler à nouveau. S’il avait quelques poils de barbe qui poussaient, c’en est fini d’eux. Va-t-il gémir ou crier ? Oh que j’espère. Crie mon ami, crie…


[J'espère que ça t'inspire... Je voyais pas comment te rendre tes membres pour le moment alors...]
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